Margrethe II : son abdication plombée par les rumeurs d’infidélité du prince Frederik
Alors que la reine Margrethe II du Danemark a annoncé qu’elle abdiquerait dès le 14 janvier, certains assurent que sa décision aurait pu être quelque peu prise à cause des rumeurs d’infidélité visant son fils aîné Frederik, l’héritier de la Couronne.
C’est officiel, la reine Margrethe II du Danemark abdiquera dès le 14 janvier prochain, en passant ainsi la main à son fils aîné, le prince Frederik et son épouse, la belle Mary. Une annonce faite peu de temps avant le passage à la nouvelle année et qui a provoqué la surprise dans le pays, avant de rapidement faire l’objet de raccourcis vis-à-vis des récentes rumeurs d’infidélité visant l’héritier de la Couronne. Pour rappel, l’époux de Mary Donaldson a, depuis le mois de novembre, été visé par une révélation du média espagnol Lecturas, qui assurait, photo à l’appui, qu’il entretiendrait une relation extraconjugale avec une certaine Genoveva Casanova.
Une rumeur démentie par cette femme, mais qui a aussi fait réagir la Maison royale danoise. Et depuis l’annonce de la fin de règne prochaine de la reine, certains pensent que les deux informations sont liées. De quoi faire bondir un journaliste spécialiste de la royauté, Wim Dehandschutter de son nom, sur X (ex-Twitter) le 31 décembre dernier. « J’ai lu des commentaires selon lesquels la reine Margrethe du Danemark a décidé d’abdiquer après 52 ans en réaction aux récentes rumeurs concernant une liaison entre son fils et prochain roi Frederik », commence-t-il dans son post, avant de lâcher, fermement : « Croit-on vraiment qu’il y a seulement six semaines, elle a pris cette décision drastique et récompense ainsi un homme éventuellement fidèle ? »
Une histoire similaire à celle de l’ancien roi des Belges ?
Dans les commentaires, un internaute a estimé que cela pourrait en effet ne pas être « la raison principale » mais que ça a peut-être « été un facteur déclenchant » pour Margrethe II. Notre confrère a rapidement répliqué en rappelant que « quand le roi Albert II a abdiqué en Belgique en 2013, certains journalistes ont aussi déclaré : il a pris cette décision parce que Delphine (alors encore Boël) a saisi la justice afin d’obtenir des preuves ADN prouvant qu’elle était sa fille ». « Je n’y croyais pas non plus à l’époque », a-t-il lâché pour faire taire les mauvaises langues.