Elle enchaîne les interventions depuis le début du mois de décembre. C l’hebdo, En aparté et même la Star Academy, Laetitia Hallyday multiplie les plateaux de télévision ces derniers temps, à l’occasion des six ans de la mort de son mari. Afin de lui rendre hommage, la maman de 48 ans s’efforce de revenir sur la disparition de Johnny Hallyday, ainsi que sur les conséquences de sa mort. Se prêtant au jeu des questions, entre apparition surprise à la Star Academy ou confidences plus intimes sur ses nombreuses fausses couches dans En Aparté ; la mère de Jade et Joy accepte de se livrer sur sa vie, de femme, de mère et de veuve.
Si, dans C l’hebdo, l’ex épouse du rockeur réglait ses comptes avec ses beaux-enfants David Hallyday et Laura Smet ; Laetitia Hallyday s’est laissée aller à d’autres confidences sur le plateau de 50’Inside. Des confessions liées à sa vie de femme, notamment à sa relation passée avec l’acteur Jalil Lespert, avec qui elle officialisait son couple en décembre 2000. C’était après avoir vécu une courte histoire avec l’homme d’affaires Pascal Balland. Très éprise du cinéaste de 47 ans, Laetitia Hallyday multipliait les déclarations d’amour sur les réseaux sociaux. Mais l’histoire entre les deux tourtereaux a finalement pris fin. La raison ? L’ombre de Johnny, encore bien présente, semblait peser sur le couple.
« Il ne m’a pas donné la bénédiction d’être heureuse »
« C’est chaotique pour moi. Je tombe amoureuse et puis j’ai peur. J’ai peur, je n’y arrive pas, en fait », a lâché Laetitia Hallyday sur le plateau, avant d’avouer être en proie à une certaine culpabilité dès lors qu’elle fréquente un homme. « Ma dernière histoire d’amour, j’y ai cru, j’ai aimé et puis j’ai culpabilisé. Je culpabilise d’être heureuse sans Johnny, j’ai l’impression de le tromper, j’ai l’impression de le trahir, j’ai l’impression qu’il me regarde », a-t-elle articulé, visiblement émue. « Il est parti, on s’est fait des promesses, mais il ne m’a pas donné la bénédiction d’être heureuse. Il ne m’a pas dit : ‘Sois heureuse, refais ta vie’. Parce que c’était quelqu’un d’extrêmement possessif, d’extrêmement jaloux. Je lui appartenais à mon mari », a-t-elle confié à Isabelle Ithurburu, qui animait l’entretien. Et de conclure : « C’est un travail que je dois faire sur moi, c’est moi la seule responsable, mais j’avance un pas après l’autre. »