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« Je n’arrivais plus… » : Marion Rousse se confie sur une période très difficile avec son compagnon Julian Alaphilippe

« Je n’arrivais plus… » : Marion Rousse se confie sur une période très difficile avec son compagnon Julian Alaphilippe

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Elle est une journaliste sportive reconnue et respectée, lui est un grand champion de cyclisme : l’histoire ressemblerait presque à un scénario de film romantique ! Entre Marion Rousse et Julian Alaphilippe ce fut une évidence ! En couple depuis 2020, le duo a depuis fondé une famille avec la naissance du petit Nino en 2021. Un prénom qui a été choisi de façon très symbolique par les deux parents puisqu’il s’agit du prénom du grand-père de la journaliste : « Se mettre d’accord sur un prénom, ce n’est jamais évident, a-t-elle rappelé au quotidien. Et celui-là, on l’aimait bien tous les deux. C’était le prénom de mon grand-père maternel, qui venait d’une famille italienne. C’était le clin d’œil », avait confié Marion Rousse dans les colonnes du Parisien. Et la venue au monde de leur bout de chou en 2021 fut un bonheur immense, l’année 2022 fut davantage éprouvante pour le couple. Une grosse bronchite au mois de mars, une grave chute en avril dans un ravin à plus de 70 km/h et le Covid en juillet auront eu raison de la santé de Julian Alaphilippe. Le cycliste avait ainsi dû abandonner sa participation au Tour de France. Un coup dur pour le sportif mais aussi pour sa famille !

« J’étais tout autant affectée que lui »

Dans les colonnes de La Tribune Dimanche ce 2 juin 2024, Marion Rousse est revenue sur cet épisode difficile et les deux années compliquées pour son compagnon qui s’en sont suivies : « C’est vrai qu’il a mis du temps à rebondir. Il n’arrivait pas à montrer de quoi il était capable parce qu’il était stoppé dans son élan par des chutes. »

Très présente et « tout autant affectée que lui », la journaliste reconnaît qu’à un moment elle n’a pas plus su trouver les mots pour l’épauler : « J’essayais de le rassurer, de le réconforter, mais au bout de deux ans je n’arrivais plus à trouver les bons mots. Je pense que Nino, notre petit garçon, nous a beaucoup aidés à traverser cette sale période. » Comme quoi, l’amour triomphe toujours…

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